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LETTRE OUVERTE AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

Monsieur le Président de la République

Comme nombre de nos concitoyens, j’apprenais hier soir, par les médias, les premiers décès de ces soignants, lesquels constituent les premières fortifications de notre société aujourd’hui assiégée et acculée, dans cette guerre que nous menons tous contre la propagation du COVID 19.

Avant toute autre considération, mes premières pensées vont à ces familles qui aujourd’hui pleurent un fils, une fille, un père, une mère, un frère, une sœur, un époux, une épouse ou même tout simplement un ami. Je veux leur crier toute ma reconnaissance et leur dire, en toute humilité, combien je suis conscient des sacrifices auxquels ont consenti leurs soignants de parents, afin que des millions de personnes vivent dans un cadre plus sécure. Des sacrifices funestes qui rappellent dans des circonstances, ô combien douloureuses, ces premiers mots du serment d’HIPPOCRATE « Je prends l’engagement solennel de consacrer ma vie au service de l’humanité ; Je considérerai la santé et le bien-être de mon patient comme ma priorité ».

IMMENSE RESPECT !

Ainsi, hier soir, dans ce contexte de crise sanitaire sans précédent et de souffrance qui lui est corolaire, nous, citoyens de la 5ème puissance économique mondiale, expérimentions dans le sacrifice de nos soignants, les limites d’un système démocratique représentatif, lequel a promu à ses fonctions exécutives des représentants inféodés à la loi du marché, incapables dans leurs décisions les plus récentes de mettre en exergue une volonté d’exhausser l’intérêt Général.

Les braises encore vives de la crise des gilets jaunes, des grèves massives des urgentistes, du personnel soignant, du personnel enseignant, du service public en général, et surtout le refus généralisé d’une refonte de notre système de retraite rappellent, s’il en était besoin, que sous les cendres de la démocratie bafouée, couve l’insurrection sociale.  

C’est donc au premier d’entre nous que je veux m’adresser, à vous Monsieur le Président de la République, dont d’aucuns salue l’âme philosophe. Je souhaiterais, dans ce contexte de guerre que vous avez dépeint lors de votre allocution télévisée, requérir pour ces soignants tombés au champ d’honneur pour tenter de sauver le pays que vous dirigez dans le strict respect des valeurs de la REPUBLIQUE, que leur soit décernée à titre posthume la légion d’honneur et que leurs enfants soient reconnus pupilles de la nation.  

C’est le moins que puisse faire la patrie reconnaissante pour ses enfants tombés sur le champ de bataille.

Avant de conclure cet échange épistolaire, je souhaiterais préciser que loin de moi l’idée de rompre cette concorde nationale qui prévaut en me drapant dans les oripeaux d’une quelconque idéologie politicienne. Toutefois, c’est parce qu’à la suite d’un Protagoras et d’autres, l’humaniste que je suis, considère que « l’homme est la mesure de toute chose » que, je franchis le rubicond du système démocratique représentatif, pour vous interpeler directement et réclamer au nom d’une nouvelle conception de la République, la reconnaissance de la Communauté des Français pour le sacrifice consenti.

Espérant que cette requête trouvera auprès de vous un écho favorable recevez monsieur le Président de la République mes déférentes salutations.

Elie DOMERGUE

Tête de liste AGIR POUR BESSANCOURT

HOMMAGE ET COUP DE GUEULE !

Comme beaucoup d’entre-vous, je viens d’appendre, ce soir, par le biais des médias, les premiers décès de ces soignants qui, dans le cadre de cette guerre que nous menons contre la propagation du COVID 19, sont, de fait, en première ligne ; constituant les premières fortifications d’une société assiégée et acculée.

Mes premières pensées vont ce soir à ces deux familles qui pleurent un fils, une fille, un père, une mère, un frère, une sœur, un époux, une épouse.
Je veux leur crier toute ma reconnaissance et leur dire en toute humilité combien je suis conscient du sacrifice consenti par leurs soignants de parents, pour que des millions de personnes vivent dans un cadre sécure et sain.

Ces sacrifices funestes illustrent sous un jour ô combien douloureux ces premiers vers du serment d’HIPPOCRATE « Je prends l’engagement solennel de consacrer ma vie au service de l’humanité ; Je considérerai la santé et le bien-être de mon patient comme ma priorité ».

BIG RESPECT !

Lors de son allocution télévisée, le chef de l’Etat a eu recours au registre lexical de la guerre pour exposer aux Français la situation périlleuse dans laquelle s’enfonçait le pays.
En l’espèce, parce que ces Soignants sont tombés au champ d’honneur, parce qu’ils ont fait le sacrifice de leur vie en combattant l’ennemi invisible et en défendant les valeurs de la REPUBLIQUE FRANÇAISE, qui je le rappelle est sociale, je propose, au nom de notre collectif citoyen AGIR POUR BESSANCOURT qu’il leur soit décerné, a titre posthume,
la légion d’honneur et que leurs enfants soit reconnus pupilles de la Nation.

Mais au-delà, et même si le moment est au recueillement et à la Concorde nationale, l’homme en colère que je suis, ne peut s’empêcher de fustiger un gouvernement qui, dans ses décisions politiques, n’a eu de cesse, depuis sa prise de fonctions, de malmener tous les composantes de notre corps social ; et notamment la communauté des soignants. Un gouvernement qui, en amplifiant la Tarification À l’Acte ou T2A et en sanctuarisant L’Objectif Nationale des Dépenses d’Assurance Maladie ou ONDAM a contribué à sacrifier des milliers de vies de soignants, sur l’hôtel de la course au rendement. Une absurdité, qui petit à petit a rogné sur la qualité de la prestation délivrée ; lui préférant la quantité et par voie de conséquence la rentabilité.

Comment en sommes-nous arrivés là ?

Comment un système de protection sociale qui, à sa création en 1945, incarnait un nec plus ultra, à t-il pu se transformer en une monstruosité administrative de type kafkaïenne, incapable de protéger tant ses usagers que celles et ceux qui la déclinent au quotidien ? La pénurie d’appareils de protection respiratoire que connaît un grand pays comme la FRANCE, n’étant qu’un des exemples de cet état de délabrement ambiant.

La réponse à cette question se trouve, à bien des égards, dans les choix électoraux que nous faisons collectivement, amenant aux plus hautes fonctions locales et nationales des hommes et des femmes -véritables techniciens au service d’une vision rentable de l’économie- qui n’ont aucun sens de L’INTÉRÊT GÉNÉRAL.

PROTEGEONS-NOUS !

Chères et chers amis,

En ces périodes troubles de crise sanitaire soyons vigilants ensemble :

Lavons nous régulièrement les mains.

Toussons ou éternuons dans nos coudes respectifs.

Aérons régulièrement nos lieux de vie.

Limitons nos déplacements aux strictes raisons vitales, notamment celles fixées par le gouvernement.

Lors de nos sorties nécessaires, respectons les gestes barrières (distance d’au moins un mètre avec nos interlocuteurs ; comme l’hôtesse de caisse par exemple).

Confinement, ne veut pas forcément dire isolement social. Profitons donc de ces moments de rupture dans un quotidien souvent abêtissant pour conforter nos liens sociaux et familiaux en prenant téléphoniquement des nouvelles de nos proches comme de nos voisins.

« Il n’y a pas d’amour. Il n’y a que des preuves d’amour ».

Si nous aimons, protégeons-nous réciproquement : Respectons ces consignes.

LES BESSANCOURTOIS AVANT TOUT

Chères Concitoyennes, chers Concitoyens,

La liste AGIR POUR BESSANCOURT, s’était engagée dans le cadre de son programme électoral à faire preuve de transparence et à partager avec les Bessancourtois l’ensemble de ses travaux.
C’est donc tout naturellement que nous portons à votre connaissance, le courriel que nous avons adressé à monsieur POULET, suite à notre convocation au Conseil Municipal d’installation du samedi 22 mars 2020.
Citoyens responsables et ayant à cœur de ne pas aggraver cette crise sanitaire que traverse actuellement notre pays, nous l’informons par la présente de notre volonté de ne pas assister au-dit conseil.

La priorité demeurant pour nous de protéger les Bessancoutois, et d’endiguer la propagation du COVID 19 nous considérons qu’une alternative à ces rencontres physiques non vitales doit être privilégiée.

Nous portons également à votre connaissance la réponse qui nous a été faite.

BILAN ET PERSPECTIVES

Chères et chers Bessancourtois,

Le verdict des urnes est tombé : Dans un contexte national de crise, les Bessancourtois ont fait le choix de confier leur devenir collectif à une équipe municipale, qui en 19 années de mandats ont conduit notre ville à cet état de délitement que nombre d’entre-nous ont déploré tout au long de cette campagne des municipales 2020.

Nous respectons ce choix démocratique ; tout en rappelant à cette nouvelle majorité municipale que n’être réélue qu’avec les seules voix de 24% du corps électoral, ne vous donne pas non plus le droit de pavoiser. C’est même, dans une certaine mesure, une gifle qui vous est infligée.

Quant à vous, celles et ceux qui nous ont fait confiance, privilégiant le changement et le progrès dont était porteur le programme d’AGIR POUR BESSANCOURT, nous vous disons que ces résultats nous confortent dans notre volonté de défendre les intérêts de BESSANCOURT et des Bessancourtois.

Chères et chers amis, nous vous garantissons que nous serons dans la prochaine mandature des acteurs vigilants et exigeants de la vie politique Bessancourtoise ; des opposants sans concession à une conception de la politique que nous ne partageons pas.

Nous restons à vos côtés pour porter haut les couleurs d’une ville que nous voulons plus humaine et plus axée autour du concept de développement Durable.

Même si l’amertume de la déception peut vous paraître, au lendemain de cette désillusion, difficile à supporter, dites vous que depuis hier soir, 22:00 une lame de fond démocratique a vu le jour ; plus forte et plus fournie que notre simple liste, elle se fixe comme objectif une re-appropriation de l’espace politique Bessancourtois.

Je conclurai ce propos en citant cette phrase d’un fameux combattant pour la liberté : Je ne perds jamais : Soit je gagne, soit j’apprends.

MISE AU POINT D’ORDRE JURIDIQUE

Chères et chers amis,

Dans le prolongement de la publication du texte, « je sais tout », lequel se veut un réquisitoire contre un mode de gouvernance de notre ville, je veux ici préciser quelques points, d’ordre juridique notamment.

Monsieur le maire crie à hue et à dia qu’en qualité de Directeur du CCAS, j’ai fait l’objet de plaintes pour harcèlement.
L’article L.222-33-2 du code pénal punit le fait de harceler autrui, d’une peine de 2 ans d’emprisonnement et de 30 000€ d’amendes.
Comme vous le savez en dix années d’exercice en qualité de Directeur du CCAS, je n’ai jamais fait l’objet d’une condamnation au Pénal ni même d’une plainte devant cette juridiction. Si cela avait été, vous l’auriez su, j’aurai moi-même été, dans l’incapacité légale d’exercer mes missions de directeur de CCAS au sein de la fonction publique.
Aussi, puisque monsieur le maire, parle de plaintes, j’aimerais qu’avant de colporter de fausses rumeurs, il les produisent ; ou qu’en qualité d’Autorité Administrative, il produise les condamnations dont j’ai été moi-même l’objet au Pénal. Sinon, arrêtez de tromper les Bessancourtoises et Besancourtois.

Par ailleurs, dans son dernier tract, monsieur le maire m’accuse, en pleine période électorale, de le diffamer. C’est le monde à l’envers.
Je lui rappelle, à toutes fins utiles, qu’il a, à loisir, la possibilité de saisir les juridictions compétentes, lesquelles si le délit est constitué, m’ordonneront de faire amende honorable. CQFD.

Chères et chers Bessancourtois, vous devez donc comprendre que si les délits dénoncés par monsieur le maire n’ont pas été sanctionnés par une de nos juridictions judiciaires, c’est parce qu’il ne sont pas constitués. Ils ne sont purement et simplement qu’une invention d’un maire qui refuse l’existence même d’une opposition démocratique.

Je vous invite donc le 15 mars à faire le choix de la vérité plutôt que de la rumeur.

HOMMAGE A LA FEMME

Je souhaiterais, en ce 08 mars 2020, adresser un vibrant hommage aux femmes en général et plus particulièrement à chaque femme conçue dans sa singularité.

A ces femmes exceptionnelles, du Nord ou du Sud, de l’Est ou de l’Ouest, qui tous les jours se battent, dans un cadre patriarcal rétrograde, pour ensemencer nos sociétés et en faire des structures empreintes de modernité, ouverte voire accueillante, je veux dire merci.

Je veux également dire merci à ces mères courage, ces sœurs protectrices, ces épouses dévouées, ces filles aimantes et ces amies complices qui au prix d’un travail acharné feront de nous ces hommes accomplis que nous sommes appelés à devenir.

Elie DOMERGUE

« JE DIS TOUT »

Chères et chers Bessancourtois,

Pour celles et ceux qui ne me connaissent pas encore, je suis Elie DOMERGUE, tête de liste du collectif citoyen Agir pour Bessancourt.

J’ai été recruté sur titre, en qualité de Directeur, par le Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) de BESSANCOURT, présidé par le Maire de la Commune, le 1er avril 2009.

Je suis en disponibilité pour convenances personnelles, depuis le 1er janvier 2020 ; et ce, afin de préparer, dans le strict respect de la loi, les échéances électorales à venir.

Au détour d’une question parfaitement orientée, posée, par l’un des élus de la majorité, lors du conseil municipal du 04 février 2020, monsieur le Maire de Bessancourt, a fait état de fautes graves que j’aurais commises dans l’exercice de mes fonctions. Il a précisé s’être vu contraint de saisir le conseil de discipline du Centre Intercommunal de Gestion de VERSAILLES. (CF. PIECE JOINTE N°1)

Il soutient que cette procédure disciplinaire n’a rien à voir avec ma candidature à la fonction de maire, sur la ville de Bessancourt, lors des prochaines élections municipales.

Je viens ici vous dire, avec force conviction, que les deux sont liées. En effet, c’est bien ma vision différente du dialogue social en entreprise ; mon approche diamétralement opposée de la mise en œuvre de la démocratie locale voire de la gouvernance municipale qui m’ont, in fine, incité à œuvrer à la constitution du collectif  Agir pour Bessancourt. C’est aussi une conception différente de l’éthique dans l’action publique qui me vaut aujourd’hui d’être sanctionné de la plus lourde des sanctions, pour un fonctionnaire : la révocation des cadres de la fonction publique. (CF. PIECE JOINTE N°2)

Je veux donc, devant vous, répondre de ces accusations, afin de faire taire les rumeurs et rétablir la vérité.

De 2009 à 2019 (année de la création d’Agir pour Bessancourt), ma manière de servir n’a jamais été sanctionnée ni même été pris à défaut par l’autorité territorial.

Mes qualités professionnelles et humaines, elles-mêmes reconnues par la vice-présidente du CCAS et adjointe au maire, ont permis au CCAS de BESSANCOURT de devenir une structure particulièrement performante, répondant pleinement aux besoins de la population Bessancourtoise ; notamment à travers le déploiement des assises Départemental du handicap (une première sur le Val d’Oise), via la gestion de l’Espace emploi, du Forum pour l’emploi ou de l’aire d’accueil des gens du voyage mais aussi, de par la mise en œuvre de Commissions Locales Santé Sociale, de campagne gratuite de vaccination, de maraudes sociales ou encore, par la représentation des administrés les plus fragiles devant les juridictions judiciaires…(CF. PIECE JOINTE N°3)

En 2015, avec la nomination d’un nouveau Directeur Général des Services (DGS), j’ai identifié, au sein de l’organisation municipale, une situation illégale que je ne pouvais cautionner. J’ai alerté à ce sujet l’Autorité Territoriale. En vain !

Je me considère comme étant droit, honnête et respectueux de la loi. C’est la raison pour laquelle, je me suis retrouvé dans l’obligation morale de dénoncer auprès des autorités judiciaires compétentes une situation de prise illégale d’intérêts, de conflits d’intérêt et de délit de favoritisme. Suite à ma plainte, déposée auprès du Tribunal de Grande Instance de Pontoise, le DGS de la ville de Bessancourt a dû démissionner de sa fonction de président de l’association mise en cause et la ville s’est engagée à ne plus avoir recours aux services de ladite association.

Mes conditions d’exercice professionnel se sont dès lors rapidement dégradées ; se transformant progressivement en un processus de harcèlement moral, de dénigrement de mon travail, de vexations diverses, puis de mise à l’écart par le retrait brutal de la plupart de mes compétences.

De manière non exhaustive, je me suis vu obligé de faire valoir, avec succès, différents droits qui étaient les miens et dont la Municipalité a tenté de me déposséder :

Mon droit à la GIPA (Garantie Individuelle du Pouvoir d’Achat) dont le remboursement m’était indûment réclamé.

Le plein respect de mes droits au congé.

Saisir le Tribunal Administratif pour faire valoir mes droits:

Au cumul d’activité pour exercer, en dehors de mes heures de travail, des activités d’enseignement et de formation.

A un de mes compléments de salaire, la NBI (Nouvelle Bonification Indiciaire), injustement supprimé.

Ces deux procédures sont actuellement en cours.

J’ai également dû, pour me défendre dans cette kabbale organisée contre un adversaire politique plutôt que contre un agent de la collectivité, faire intervenir à mes frais un avocat, notamment pour obtenir le respect de mon droit à la mobilité. (CF. PIÈCE JOINTE N°4) Cette mobilité pourtant aurait dû convenir au Maire si sa motivation avait réellement été d’ordre professionnel. Or il a refusé d’en signer les documents, m’obligeant à poser une disponibilité afin de pouvoir me présenter aux élections municipales de 2020, me privant ainsi d’une grande partie de mes revenus.

Dès lors, comment ne pas voir derrière ces différentes décisions municipales illégales, une manière de sanctionner cette audace que j’ai eue, d’alerter et de dénoncer l’existence d’un potentiel conflit d’intérêt au sein de notre municipalité ?

Une situation irrégulière pour ne pas dire délictueuse qui reste d’ailleurs symptomatique de ces largesses que s’autorise l’Autorité Municipale dans l’application de la législation.

Pour exemples :

Souhait du Maire d’attribuer, au mépris des procédures en vigueur, un logement à la sœur d’un élu, demande agrémentée d’une recommandation particulièrement édifiante : « en te remerciant pour ta rapidité alliée à ta discrétion (c’est la sœur d’un élu, mais cela n’a rien à voir, les mauvaises langues pourraient le croire) ». (CF. PIÈCE JOINTE N°5)

Refus du Maire de valider une délibération du CCAS attribuant une aide à un administré en difficultés, au seul motif qu’il s’agissait d’un élu de l’opposition municipale. (CF. PIÈCE JOINTE N°6)

En 2019, ne me reconnaissant plus dans un maire qui invariablement soumet les principes de la république à son pouvoir voire à son ambition de devenir Député ou Sénateur, j’ai pris la décision de constituer une liste en vue des élections municipales ; offrant ainsi aux Bessancourtois une alternative à l’actuelle main-basse sur la démocratie que nous subissons.

C’est ainsi, que ma carrière professionnelle qui, jusque-là, était exemplaire, au sein de la ville de Bessancourt, s’est vue entachée dès le mois de septembre 2019, d’une exclusion temporaire de 3 jours, sans salaire, puis d’une suspension de fonction de 4 mois avec perte de salaire.

Soucieux d’un rendu équitable de la justice, j’ai pris le parti de contester, auprès du Tribunal Administratif de Pontoise, ces deux sanctions manifestement imprégnées d’un excès de pouvoir.

Le 05 novembre 2019, j’ai subi au commissariat d’Ermont, une garde à vue de 08 heures, suite à une plainte, pour menaces de mort, déposée par monsieur le maire. Je suis sorti de cette expérience traumatisante, libre de toute charge. (CF. PIÈCE JOINTE N°7).

De telles méthodes se passent de commentaire !

En conséquence, j’ai déposé une plainte à l’encontre de Monsieur POULET pour dénonciation calomnieuse.

En disponibilité, depuis le 1er janvier 2020, pour me consacrer à cette campagne électorale, je dois faire face à une procédure de révocation des cadres de la fonction publique initié à mon encontre par monsieur le maire. Un stratagème de déstabilisation qui a avorté, puisque le 28 février 2020, le conseil de discipline a considéré à l’unanimité des présents que je ne pouvais être l’objet d’une telle sanction. Afin de rétablir la vérité, une suite sera donnée à cette procédure auprès du Tribunal Administratif de Pontoise, qui examinera la recevabilité et la légalité de certaines pièces produites par la municipalité. Des pièces qui ne sont en réalité que les conclusions partiales d’une coach en rêve éveillé, payée par la mairie pour monter un dossier à charge. Les griefs qui me sont opposés ne sont documentés par aucune attestation, ne repose sur aucun fait précis et ne sont produits que dans l’unique but de nuire à un adversaire politique.

De plus, depuis que notre Collectif Agir pour Bessancourt s’est lancé en campagne, les abus de pouvoir organisés par le maire n’ont eu de cesse de s’amplifier.  Pour exemples : Diffusion de rumeurs, Refus de mise à disposition d’une salle pour l’organisation d’une réunion publique, date rendue à la dernière minute dans le cadre de la réservation d’une salle municipale, 23 chaises mises à disposition au lieu des 50 demandées pour notre réunion d’information, refus de stationnement de notre Camion Rencontre devant la mairie malgré un strict respect des conditions de stationnement, refus de communiquer les comptes de la ville de 2014 à 2019…

L’Autorité Publique se doit d’incarner probité, neutralité, impartialité et égalité devant la loi. En signant la charte ANTICOR, je m’engage à un strict respect de ces principes !

Loin de jouer le jeu d’une campagne électorale « propre » qui aurait permis aux Bessancourtois de pouvoir choisir un candidat, un programme, une vision de Bessancourt, Monsieur le maire ne cesse de fausser le jeu démocratique en essayant de discréditer, de décourager, d’intimider, voire de menacer par tous les moyens mis à sa disposition, la seule opposition démocratique qui ose contester ses excès.

N’en doutons pas, Monsieur POULET tentera bien évidemment d’argumenter sur le thème de la soif de vengeance d’un concurrent ; Je vous l’ai dit, je suis quelqu’un de droit et d’intègre : mon objectif est d’apporter de mon mieux aux Bessancourtois-e-s une gestion claire et honnête de la ville dans laquelle ils vivent. Les exactions du Maire à mon encontre ne font hélas que démontrer une capacité au mensonge, au détournement, à l’exercice de pressions ; c’est ce dont je veux épargner la population de Bessancourt dont je fais partie.

Souhaitons-nous encore accorder notre confiance à un tel Maire ?

En ce qui me concerne, mon choix est déjà fait ! Toutes ces épreuves m’ont rendu plus fort et déterminé. Mon équipe et moi-même sommes désormais plus motivés que jamais pour offrir à Bessancourt ce changement qu’elle espère.

Elie DOMERGUE

ALLEZ-VOUS CAPTER ?

« Soucieux de la santé de nos enfants », le maire de la ville de Bessancourt autorise l’installation d’une antenne relais multifréquences (700 à 2600 MHz) Free Mobile à proximité d’équipements publics recevant les Bessancourtois, petits et grands.

Ce projet voté à l’unanimité du Conseil Municipal lors de sa séance du 10 octobre 2019, prévoit l’installation de cet équipement de 30 m de haut à l’intérieur du complexe sportif de Maubuisson, à quelques mètres du nouvel espace culturel AMB. (CF. PIÈCE JOINTE N°1)

A ce jour, les effets des ondes émises par ces antennes ne sont pas connus. Nos enfants y seront exposés toute la journée. Les agences de santé préconisent la mise en oeuvre du principe de précaution. AGIR POUR BESSANCOURT, suivant ces recommandations exige, a minima, que sur ces questions de santé publique la population Bessancourtoise soit consultée.[1]


[1] Préconisation de l’ANFR (Agence Nationale des FRéquences). Le décret du 3 mai 2002 qui est la référence réglementaire applicable en la matière, ne prévoit pas de distance minimale à respecter entre un émetteur et des habitations ou autres lieux publics. L’article 5 du décret demande seulement lorsque l’on est dans un rayon de 100m d’établissements scolaires, crèches ou établissements de soins, d’assurer une exposition aussi faible que possible de ces établissements tout en préservant la qualité de la réception.

Source https://www.anfr.fr/faq/faq/exposition-du-public/[1]

RÉUNION PUBLIQUE DU 05 MARS 2020. C’EST LA DER DES DER !

Alors que l’actuel maire de la ville de Bessancourt se démène en meeting et autres promesses, pour faire oublier 19 années de gestion opaque de « sa » municipalité, caractérisées principalement par une disparition progressive du petit commerce, un amenuisement de l’offre de soins, un abandon des plus fragiles d’entre nous, une négligence coupable dans l’entretien des équipements publics, et surtout par une altération ostensible de notre cadre de vie et de ses espaces naturels sacrifiés sur l’hôtel de la spéculation foncière ; AGIR POUR BESSANCOURT vous invite, le 05 mars 2020, dans la salle municipale Paul Bonneville à venir découvrir les actions qu’il entend déployer, sur les 6 prochaines années, aux fins de redonner de la vitalité à ce village que nous aimons.