Je viens par la présente attirer votre attention sur ma situation, laquelle, du fait de l’inhumanité de votre service Ressources Humaines, se transforme en un véritable chemin de croix.
Monsieur le maire,
Pour vous résumer ma situation, dès 2014, des problèmes récurrents de santé me conduisent à faire le choix de subir une opération censée améliorer mon quotidien. (CF. PIÈCE JOINTE N°1).

Trois opérations plus tard et un arrêt de travail, de 3 années, imposé par les autorités compétentes, je me retrouve aujourd’hui à quémander une place d’agent de restauration à temps plein au sein de votre service de restauration scolaire ; et ce conformément aux préconisations de la médecine du travail. (CF. PIÈCES JOINTES N° 2, 3, 4, 5).
Pour autant, dans un cadre idéal et respectueux de la législation, je n’aurai pas dû me retrouver à supplier pour être réintégrée dans mon poste de travail. En effet, la loi du 13 juillet 1983, portant droits et obligations des fonctionnaires, imposent avec force aux autorités territoriales, le reclassement des agents de la fonction publique devenus physiquement inaptes.
Permettez-moi monsieur le maire de vous dire, que je nourris l’intime conviction que ce handicap, qui aujourd’hui a transformé ma vie en un véritable enfer, je le dois en grande partie à une gestion irresponsable de ma situation administrative par vos services. En effet, si dans le prolongement de ma première opération, j’avais été accompagnée et mon poste de travail aménagé, comme le veut la loi, je n’aurai pas eu à déplorer ces différentes rechutes, lesquelles ont, inexorablement, conduit à la mise en œuvre d’opérations réparatoires successives. D’autant que, vous avez su, par le passé, et pour d’autres situations vous monter particulièrement à l’écoute.
En l’espèce, je vous enjoins instamment, conformément à ce que prévoit la loi du 13 juillet 1983, de prendre les mesures qui s’imposent pour rendre effectif mon reclassement au sein du service de restauration collective de la ville de Bessancourt.
En l’absence, de réponse de votre part, je m’autorise le droit de porter cette affaire devant la juridiction administrative de PONTOISE.
Dans l’attente, recevez monsieur le maire mes respectueuses salutations.

Cherchez l’erreur !
Qu’il attaque ! Pas de raison de se faire spolier ainsi de ses droits.
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Vous avez tout à fait raison. La municipalité est mise en demeure. En fonction de sa réponse, il est envisagé d’ester en justice.
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